SCANDALE : ZELENSKY A VENDU SON PEUPLE AUX MONDIALISTES ! | DIMITRI DE KOCHKO | GPTV

GÉOPOLITIQUE PROFONDE (www.geopolitique-profonde.com)

Le 12 janvier 2025, Dimitri de Kochko et Raphaël Besliu étaient les invités de Nicolas Stoquer et Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.

Dimitri de Kochko est journaliste, réalisateur et militant associatif. Il est un acteur incontournable des relations franco-russes. Président de Stop Russophobie et fondateur de l’association France-Oural, il est également à l’origine de plusieurs initiatives culturelles majeures, comme le Prix Russophonie et les Journées du Livre Russe. Son expertise sur la Russie et ses implications géopolitiques sera précieuse pour décrypter le récent désengagement de Moscou en Syrie

L’Ukraine livrée aux intérêts mondialistes

Sous la présidence de Volodymyr Zelensky, l’Ukraine est devenue un pion des grandes puissances. Depuis le coup d’État du Maïdan en 2014, le pays a perdu toute souveraineté, se pliant aux intérêts américains et européens. Les conséquences sont dramatiques : une économie détruite, des millions de réfugiés et des villes rasées. Zelensky, présenté comme un héros, exécute en réalité les ordres de Washington et Bruxelles, au mépris des intérêts de son peuple.

Une guerre pour les grandes puissances

Cette guerre ne profite qu’aux titans géopolitiques. Les États-Unis renforcent leur hégémonie en Europe via l’OTAN, la Russie consolide son contrôle à l’Est de l’Ukraine, et la Chine exploite le chaos pour resserrer ses liens avec Moscou. L’Europe, elle, se cantonne à une position subalterne, subissant les conséquences économiques et sociales sans tirer aucun bénéfice.

L’Est ukrainien, riche en ressources, glisse dans la sphère d’influence russe, tandis que l’Ouest cherche désespérément à se rapprocher de l’Europe. Le démembrement de l’Ukraine semble inéluctable, mais ses élites ne font rien pour l’empêcher, sacrifiant l’avenir de leur nation à des intérêts étrangers.

L’Europe, spectatrice impuissante

La guerre expose l’impuissance stratégique de l’Europe, prisonnière de sa dépendance envers les États-Unis. Incapables de s’imposer comme un acteur indépendant, ses dirigeants se contentent d’appliquer les directives américaines, aggravant leur marginalisation. Alors que les grandes puissances se partagent les dépouilles, l’Europe paie le prix fort avec une crise énergétique et une inflation galopante.

Pourtant, cette faiblesse pourrait être une chance. Si l’Europe s’affranchissait de l’hégémonie américaine, elle pourrait renaître et retrouver une place stratégique sur la scène mondiale. Mais une telle transformation nécessiterait une rupture radicale avec les élites actuelles, qui privilégient leur soumission à Washington.

Une trahison orchestrée par les élites

Les élites ukrainiennes et occidentales incarnent ce que Sartre appelait « les salauds » : conscientes de leur trahison, elles préfèrent préserver leurs privilèges, quitte à sacrifier leurs peuples. En Ukraine, cette trahison condamne l’État à la disparition. En Europe, elle pourrait devenir un signal d’alarme, incitant les peuples à se réveiller face à cette manipulation mondiale.
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