BATACLAN, CHARLIE HEBDO : LES RÉVÉLATIONS EXPLOSIVES CACHÉES PAR L'ÉTAT | FRANÇOIS BELLIOT | GPTV

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Le 11 janvier 2025, François Belliot était l’invité de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

François Belliot est un écrivain et analyste français, reconnu pour ses travaux critiques sur les médias et la géopolitique. Il a notamment publié « Géopolitique des attentats du 13 novembre » et « Le massacre de Charlie Hebdo : l’enquête impossible« , où il examine en profondeur les récits médiatiques et politiques entourant ces événements majeurs.

La guerre en Syrie a transformé la France en cible terroriste
L’intervention militaire française en Syrie, via l’opération Chammal (2014), a transformé la France en cible terroriste. Ces frappes, menées sans coordination internationale, ont été perçues par les djihadistes comme une déclaration de guerre. En représailles, des attentats sanglants ont frappé le territoire français.

Les auteurs des attaques du Bataclan et de Charlie Hebdo, formés dans les zones de guerre syriennes, ont exploité des réseaux bien établis pour infiltrer l’Europe. Les frappes françaises ont alimenté un cycle de violence, radicalisant des jeu

Les complicités ignorées dans les attentats

L’enquête sur Charlie Hebdo révèle des zones d’ombre troublantes. Les frères Kouachi, connus des services de renseignement, n’ont pas été interceptés malgré leur entraînement militaire au Yémen. Cette surveillance défaillante a mis en lumière des négligences au sein des institutions.

Des secrets d’État ont entravé l’enquête, interdisant l’accès à des informations cruciales. Des témoins-clés ont été ignorés, et les failles des forces de sécurité n’ont pas été explorées. Ces blocages protègent des institutions sensibles et des personnalités influentes. Les rapports indépendants pointent également des complicités internes, transformant l’enquête en un labyrinthe judiciaire.

Des dirigeants déconnectés et une trahison politique qui condamne des innocents

Les réformes sous Nicolas Sarkozy, notamment la fusion des RG et de la DST en 2008, ont affaibli la lutte antiterroriste. François Hollande, avec une politique étrangère agressive, a négligé de renforcer la sécurité intérieure. Les services de renseignement, débordés et sous-équipés, n’ont pu contrer des réseaux terroristes sophistiqués.

Sous Manuel Valls, les priorités stratégiques se sont concentrées sur des ambitions diplomatiques, ignorant les répercussions intérieures.
Leur gestion défaillante a conduit à des attaques évitables, où des dizaines de Français ont perdu la vie. Ces dirigeants ont privilégié des choix géopolitiques risqués, sacrifiant la sécurité de leurs citoyens au profit de l’ambition politique.

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